L'autoconservation de sperme permet de préserver la fertilité lors des traitements anticancéreux. Est-elle la juste réponse aux aspirations de l'homme malade? Comment l'autoconservation intervient-elle dans la dynamique des couples? La garde, la gestion, l'utilisation des paillettes: comment la responsabilité du médecin est-elle impliquée dans leurs conséquences et comment les gère-t-il? Après le décès du patient peut-il exister un droit à l'insémination post mortem? Au delà de nos interrogations c'est la qualité de la pratique qui est en jeu.